Cette deuxième période marque l’achèvement des essais consacrés à la propulsion, dont la conduite est désormais assurée par l’équipage d’armement.

Durant trois semaines, industriels et étatiques (DGA et Marine nationale) testent le système de combat du bâtiment dont le sonar remorqué Captas-4 compact qui permet une détection sous-marine à grande profondeur, le système de conduite de tir radar STIR qui assure le ciblage pour le canon de 76 mm, et le radar multifonction Seafire. Ce radar à panneaux fixes de nouvelle génération développé par Thales offre des capacités particulièrement avancées de surveillance et de détection aérienne et de surface à 360°. Il est conçu pour suivre simultanément des cibles multiples, y compris des missiles supersoniques.

Ces systèmes de pointe assurent la polyvalence de la FDI, la positionnant comme un atout majeur pour la Marine nationale dans ses missions contemporaines jusqu’aux engagements de haute intensité. Cette nouvelle classe de bâtiments saura faire face à des menaces aériennes, maritimes ou sous-marines tout en étant nativement protégée contre les menaces cyber.

Cette sortie en mer s’inscrit dans le cadre d’une série d’essais pour préparer la livraison de la FDI Amiral Ronarc’h à la Marine nationale en 2025.