L’un des trois régiments de la 4^ème brigade d’aérocombat, le 1^er RHC, fort d’un millier de civils et militaires, exploite une quarantaine d’hélicoptères (21 Caïman, 14 Tigre et 7 Gazelle) et est doté de moyens de simulation performants. Outil de combat polyvalent, apte à s’engager sur court préavis, il dispose d’infrastructures aéronautiques modernes et gère de larges zones d’entraînement.

Après s’être entretenu avec le chef de corps et ses principaux adjoints sur la préparation opérationnelle conduite dans tous les domaines dans l’éventualité d’un conflit de haute intensité, le DirSAÉ s’est informé des différentes problématiques traitées par le 1^er RHC en termes d’activité aéronautique, d’exploitation, d’utilisation des espaces aériens et de maintien de navigabilité.

Il a pu ensuite rencontrer le personnel sur son lieu de travail, en particulier les contrôleurs de navigabilité du régiment effectuant, sous mandat DSAÉ (dans le cadre d’un protocole passé avec l’Armée de Terre), l’examen de navigabilité d’un Caïman.

Le DirSAÉ a également pu effectuer un vol à bord d’un Tigre HAD afin de mieux appréhender la mission, et de mesurer toutes les capacités, celles du vecteur comme celles de son système d’armes.

Occasion pour l’équipe de commandement de mieux cerner le large champ d’action de la DSAÉ et sa récente transformation, lors des échanges avec le directeur.

Et occasion pour la DSAÉ d’aider à la prise en compte de certaines difficultés du régiment, liées notamment à la création et l’utilisation de ses zones d’entraînement et à la formation de ses contrôleurs aériens.