Témoignages d'élèves officiers sous contrat

Découvrez les témoignages des élèves officiers sous contrat !

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élèves officiers sous contrat

Le commissaire de troisième classe Anne, officier sous contrat de la promotion OSCC21A

commissaire de troisième classe Anne, officier sous contrat de la promotion OSCC21A © eca

Anne, officier sous contrat de la promotion OSCC21A

Anne, officier sous contrat de la promotion OSCC21A

Quel est votre parcours académique ?

J’ai un diplôme d’ingénieur généraliste, obtenu à l’ESIGELEC de Rouen en 2016, avec une spécialité « ingénierie des systèmes médicaux ». Après ma formation d’ingénieur, j’ai choisi de développer et de compléter mes connaissances en intégrant le master 2 « Management des Technologies Interactives 3D » de Laval. Ce parcours m’a apporté les connaissances spécifiques aux domaines innovants de la réalité virtuelle/augmentée (RV/RA).

Quel poste occupez-vous en tant que commissaire des armées ?

J’occupe le poste d’ingénieure biomédical au sein de l’Etablissement Central des Matériels du Service Santé des Armées (ECMSSA).

Quelles expériences professionnelles aviez-vous déjà vécues auparavant ?

Ma formation à l’ESIGELEC s’est terminée par un stage de 6 mois dans le groupe hospitalier Universitaire Paris Nord Val de Seine. Alternant principalement entre les hôpitaux Beaujon et Bichat, j’ai eu sous ma responsabilité la gestion des achats et le suivi de la maintenance des équipements du pôle 2I (Infection – Immunité). Après mon master 2 J’ai travaillé à l’INSERM de Lyon, laboratoire en neurosciences où j’ai créé des applications, en réalité virtuelle, pour la recherche en collaboration avec des chercheurs et des praticiens. Enfin j’ai continué le développement informatique chez Altran Toulouse, pendant 2 ans, en tant que consultante dans le domaine de la RV/RA.

Qu’est-ce qui vous a poussé à intégrer le commissariat des armées ?

Je suis de nature curieuse et j’aime découvrir de nouveaux domaines de compétences. Souhaitant retourner dans l’ingénierie biomédical, j’ai prospecté et trouvé une offre d’emploi au sein du commissariat des armées. Intégrer ce corps est pour moi l’occasion d’appréhender le milieu militaire tout en exerçant un métier qui me plaît. C’est d’ailleurs dans ce contexte que ce dernier prend tout son sens. En effet, j’aide à l’achat d’équipements biomédicaux qui seront envoyés en opérations extérieures pour soigner les soutenus.  

Quelles sont les spécificités du milieu militaire qu’il vous semble important d’évoquer avant de s’engager ?

Il est important de comprendre qu’être militaire, c’est s’engager pour la France. Plus spécifiquement, être au commissariat des armées c’est aller soutenir les forces armées au plus près sur le terrain. Avant de s’engager il faut avoir envie de sortir de sa zone de confort et d’être présent en tout temps et tous lieux.

Quel est l’objectif de votre formation à l’ECA ?

J’ai été recrutée en tant qu’officier sous contrat (4 ans renouvelable jusqu’à 20 ans) pour occuper un poste en lien avec mon métier d’ingénieur biomédical. La formation à l’ECA vient compléter nos compétences professionnelles par des compétences purement militaires. Ces dernières nous serviront dans le cadre d’opérations extérieures. Elle a aussi pour objectif d’inculquer une culture et un comportement militaire, d’officier. A cela s’ajoute des cours théoriques sur l’organisation du ministère des armées ainsi que des cours d’administrateur pour parfaire nos connaissances professionnelles. Enfin, la formation pousse à développer des valeurs morales telles que la cohésion, l’entraide ou encore le dépassement de soi.

Une journée type à l’ECA commence à 6h00 avec le rassemblement des élèves officiers en rang avant le début des cours (pratiques/théoriques) souvent entre 7h30 et 8h00. Peuvent s’ensuivre un cours de topologie sur le terrain, un cours pratique de « Technique d’Intervention Opérationnel Rapproché » où l’objectif est d’apprendre à se défaire d’une situation dangereuse, un cours « Armement et instruction de tir » (pratique ou théorique) et d’autres jusqu’à 17h30. En fonction des enseignements de la journée, l’heure de fin peut être décalée jusqu’19h30 voire au-delà en fonction des problèmes rencontrés. La journée se termine souvent vers 22h00 après avoir mangé, s’être douché et avoir révisé ses leçons !

Qu’est-ce qui vous a le plus plu et le plus posé de difficultés depuis votre arrivée à l’ECA ?

Ce qui m’a le plus plu est la formation militaire qui nous apprend des choses que peu de personnes seront amenées à faire dans leur vie. C’est une formation intense qui nous pousse dans nos limites et nous endurcit. Le plus dur est de garder le rythme et d’enchaîner les journées malgré la fatigue.

Que vous apporte la modularité dans votre formation ?

En tant qu’ingénieure biomédical, j’aide les acheteurs à créer des marchés publics mais mon rôle est centré sur la coordination technique des projets. La modularité « Achats » que j’ai suivie à l’ECA m’a donc permis de comprendre la partie complémentaire du travail.

Quel conseil donneriez-vous à la future promotion d’Officier Sous Contrat Commissaires ?

Préparez-vous physiquement et venez avec un bon esprit de cohésion !

Le commissaire de troisième classe Anne, de la promotion des officiers sous contrat

commissaire de troisième classe Anne, de la promotion des officiers sous contrat © eca

Anne, de la promotion des officiers sous contrat

Anne, de la promotion des officiers sous contrat

e suis la commissaire de troisième classe Anne, j’ai 24 ans et je suis actuellement en formation pour 3 mois à l’école des commissaires des armées en tant qu’officier sous contrat.

Quel est votre parcours académique ?

Je suis titulaire d’un diplôme de psychologue du travail (Bac+5), obtenu à l’Ecole de Psychologues Praticiens et d’un Master 2 Responsable Ressources Humaines issu d’un partenariat entre l’Isfogep et l’ESSEC Business School.

 

Quel poste occupez-vous au sein du commissariat des armées ?

J’occupe le poste d’adjointe au chef du bureau emplois et compétences au Centre interarmées du soutien Restauration-Loisirs (CIRL) à Lyon. Au quotidien, j’œuvre pour le développement des compétences des personnels qui travaillent pour soutenir les forces armées à travers la formation notamment.

 

Quelles expériences professionnelles aviez-vous déjà vécues auparavant ?

J’ai travaillé pendant plusieurs années en psychologie du travail et dans les ressources humaines, notamment chez EDF, où j’occupais un poste de chargée de recrutement puis de chargée de projets RH.

Qu’est-ce qui vous a poussé à intégrer le commissariat des armées ?

Ma volonté de servir et le sens que donne le commissariat des armées à mon travail. Le commissariat des armées, c’est le soutien des forces armées et cela m’a poussé à intégrer ce corps.

Quelles sont les spécificités du milieu militaire qu’il vous semble important d’évoquer avant de s’engager ?

Le statut militaire est un véritable engagement au service de l’utilité publique. Il faut être conscient de la forte disponibilité que l’on doit avoir avant de s’engager.

 

Quel est l’objectif de votre formation à l’ECA ?

La formation à l’ECA me permet d’acquérir une posture et les codes militaires, de renforcer mes compétences académiques et ma connaissance du commissariat es armées,  et de devenir un officier capable de manager et de prendre des décisions en toutes circonstances.

 

Qu’est-ce qui vous a le plus plu depuis votre arrivée à l’ECA ?

Ce qui m’a particulièrement plu depuis le début de la formation, c’est la cohésion et le dépassement de soi. Nos camarades nous aident à nous dépasser et à aller au-delà de ce qu’on pensait être capable de faire.

Que vous apporte la modularité dans votre formation ?

La modularité m’apporte par exemple des compétences en achat, matière que je n’avais jamais vue lors de ma formation académique.

Je peux ainsi acquérir plus de polyvalence dans mon métier.

 

Quel conseil donneriez-vous à la future promotion d’OSCC ?

D’être prêt à se remettre en question et de donner le meilleur de soi-même.

Le commissaire aspirant Sofian, et je suis actuellement en formation militaire à l’école des commissaires des armées de Salon-de-Provence.

commissaire aspirant Sofian © eca

commissaire aspirant Sofian

commissaire aspirant Sofian

Quel est votre parcours académique et professionnel ?

J’ai entamé les études qui m’ont menées à ce poste assez tardivement. Après avoir obtenu mon Baccalauréat scientifique, j’ai étudié un temps la biologie avant de travailler dans le bâtiment, l’animation, la restauration puis de partir dans une ferme en Suède. A mon retour, j’ai commencé des études de droit et de sciences politiques que j’ai approfondies grâce à un Master en droit international. J’ai ensuite effectué des stages. En cabinet d’avocat d’abord puis auprès du Défenseur des droits, avant d’acquérir une expérience professionnelle dans l’édition.

Pourquoi avoir candidaté à un poste d’officier sous contrat ?

Pour plusieurs raisons. Premièrement, cela me permettait de découvrir l’institution militaire et la fonction de commissaire des armées grâce un premier contrat d’engagement. Réciproquement, cela permet aussi à l’armée et au service du commissariat des armées d’évaluer mes capacités.

En réalité, j’ai longtemps hésité entre un poste de sous-officier, davantage spécialiste et moins soumis aux mutations, et une fonction d’officier, plus généraliste. Un contrat d’Officier sous contrat m’a paru idéal pour découvrir le quotidien d’un officier.

Il y a enfin une dernière raison, plus terre à terre : j’ai dépassé la limite d’âge pour accéder au concours de carrière !

Pourquoi avoir choisi le commissariat des armées ?

J’avais initialement postulé dans l’armée de l’air ainsi qu’en tant qu’officier juriste de l’Armée de Terre, à l’époque où ces derniers étaient absorbés par le Service du Commissariat des Armées que je ne connaissais pas du tout. C’est mon CIRFA qui m’a fait découvrir le corps des commissaires et ses fonctions. J’ai considéré que c’était ce dernier qui répondait le mieux, d’une part à ce que je voulais recevoir de l’institution militaire, mais aussi et surtout à ce que je pouvais lui donner. J’ai donc décidé de me porter candidat.

Quel poste allez-vous occuper ?

J’ai rejoint le GSBdD Île-de-France nouvellement créé dont je participe, au sein de la Division Conduite du Soutien, au développement.

Que retenez-vous de votre formation ?

On mûrit vite, ici. Ce que je retiens de ces premières semaines de formation est qu’être à la fois un bon soldat, un officier inspirant ainsi qu’un commissaire compétent demande énormément de travail et d’investissement.

Quels sont vos projets ?

Etant internationaliste de formation, je me proposerai dans un futur plus ou moins proche pour intégrer le vivier LEGAD, en parallèle de mes futures fonctions. Ceci étant dit, la branche Achat-Finances m’intéresse également au plus haut point et j’ai pour ambition - puisque le commissariat des armées nous le permet- de m’y former et de la découvrir, dans un premier temps à travers une OPEX.

Le commissaire aspirant Loïc, 30 ans, élève officier à l’école des commissaires des armées

commissaire aspirant Loïc, 30 ans, élève officier à l’école des commissaires des armées © eca

Loïc, élève officier à l’école des commissaires des armées

Loïc, élève officier à l’école des commissaires des armées

Je suis le commissaire aspirant Loïc, j’ai 30 ans et je suis actuellement la formation de commissaire aspirant sous contrat à Salon-de-Provence à l’école des commissaires des armées.

Quel est votre parcours académique et professionnel ?

Après mon BAC STG Comptabilité et Finances des Entreprises, puis une Classe Préparatoire aux Grandes Écoles à Marseille, j’ai obtenu une Licence de Gestion (SKEMA) à Marseille. J’ai choisi de passer le concours d’entrée à l’EMD Management pour le Master Contrôle de Gestion et Gestion des Projets en alternance au sein de l’entreprise Naval Group pendant 2 années. J’ai par la suite travaillé 6 mois en tant que contrôleur de gestion dans le domaine du gros œuvre, puis 4 années comme contrôleur d’exploitation et de gestion dans le second œuvre.

Pourquoi avoir candidaté à un poste d’officier sous contrat ?

J’occupais un poste dans le civil à la Direction sans aucune possibilité d’évoluer, tant en rémunération qu’en responsabilité, à moins d’attendre un départ à la retraite. Durant le 1er confinement j’ai trouvé une opportunité d’apporter mon expertise dans un environnement militaire.

Pourquoi avoir choisi le commissariat des armées ?

Je baigne dans l’environnement militaire depuis tout petit, par mon père qui a été légionnaire. C’est un milieu qui me plaît beaucoup. Je ne connaissais pas le service du commissariat des armées (SCA), mais j’ai toujours été intéressé par des postes de soutien, qui se rapprochent de mon cursus et de mes compétences. J’ai eu l’occasion de découvrir le SCA par le concours sur titre, puis par le biais de ma sœur qui a intégré le SCA en 2017 en tant qu’officier sous contrat également.

Quel poste allez-vous occuper ?

Je travaille au Commandement de la Légion Etrangère (COMLE), au sein de la Division Entraide et Solidarité de la Légion Etrangère (DES-LE), précisément au Cercle Mixte de la Légion Etrangère (CMLE). Notre service se divise en 3 bureaux : Emploi, Pilotage et Contractualisation. Je suis le Chef du Bureau Contractualisation qui a pour but de garantir le respect des principes fondamentaux de la commande publique.

Que retenez-vous de votre formation ?

Je découvre la manipulation des armes (FAMAS, PA). Mon objectif est de devenir à long terme directeur de tir et réaliser des formations ainsi que les formations et entraînements dans ce domaine. Cette formation m’a appris à dépasser ce que je croyais être mes limites comme par exemple affronter les nuits en bivouac à 0°C. Avoir été élève du jour : on ressent les responsabilités qui nous incombent, on apprend à déléguer et à être disponible pour ses camarades comme son supérieur. J’aime la cohésion, le partage qui se fait dans la promotion. Je rencontre de belles personnes, sur qui je peux compter.

Quels sont vos projets ?

J’aimerais à court terme (dans les 4 ans de ce premier contrat) pouvoir partir une fois en OPEX (opération extérieure) ou MCD (mission de courte durée) à l’étranger et acquérir de nouvelles compétences.

Le commissaire aspirant Augustin de la promotion OSCCB19, diplômé d’un master en finances, nous raconte son parcours et pourquoi il s’est engagé en tant que commissaire des armées.

commissaire aspirant Augustin de la promotion OSCCB19 © eca

 Augustin de la promotion OSCCB19

 Augustin de la promotion OSCCB19

Quel est votre parcours académique et professionnel ?

Diplômé d’un master en finance spécialisation contrôle/audit, j'ai eu, avant d'intégrer l'institution militaire, une expérience professionnelle de 4 ans dans l'industrie automobile et de 2 ans dans l'industrie aéronautique.

J'y ai occupé principalement des fonctions de contrôleur de gestion. J’ai par exemple eu la charge de coordonner des processus budgétaires sur mon périmètre de contrôle, de produire des arrêtés mensuels et annuels, de suivre des coûts de développement et de production de nouveaux moteurs pour un constructeur automobile, ainsi que d’élaborer des offres commerciales.

Pourquoi avoir candidaté à un poste d'officier sous contrat ?

Intégrer l'institution via un poste d'officier sous contrat présente pour moi plusieurs avantages : d’abord, cela me permet de travailler sur un poste de spécialiste directement en lien avec mon expérience professionnelle et mes aspirations. C’est également l’opportunité de travailler sur un poste à dimension managériale. Enfin, j’ai privilégié un contrat d’officier sous contrat de 4 ans renouvelable ce qui me laisse toute liberté à l’issue (reconduction ou autre orientation).

Pourquoi avoir choisi le commissariat des armées ?

De par mon histoire familiale, j’ai un attachement particulier à l’institution militaire ; mettre mon expérience et mes compétences au service du commissariat des armées est pour moi un honneur et une grande source de développement au niveau personnel. Pouvoir exercer dans ma spécialité au sein d'un corps spécialisé dans le soutien de nos forces armées est particulièrement attrayant, c’est extrêmement riche en terme d'échanges et de contacts. La perspective de pouvoir exercer dans ma spécialité et de côtoyer des professionnels d'horizons très opérationnels  (par exemple les personnels de l'escadron de détection et contrôle aéroportés 0/36 Berry présent sur la BA 702 où je suis affecté), n'a fait que renforcer ma motivation pour intégrer le commissariat des armées.

Autre point déterminant dans mon choix : le commissariat des armées permet à de jeunes actifs de prendre le commandement d'équipes au sein d'organismes de soutien ou directement au sein des forces, cela a peu d'équivalents dans le civil.

Comment s’est passée votre prise de poste ?

Je suis affecté en tant que responsable des cellules finances et contrôle interne au sein du  Bureau interface des soutiens / maîtrise de l'activité (BISMA) sur la Base aérienne 702 d'Avord. Ce dernier recouvre un vaste champ d'activités allant de la coordination logistique à la gestion des infrastructures opérationnelles et de l'information en passant par les finances.

Ce positionnement permet au Bureau et  par extension me permet d’être une véritable interface entre les « soutenus » que sont les unités de la base et les « soutenants » tels que le GSBDD de Bourges-Avord.

Ayant pris mes fonctions en plein coeur d'une période troublée par l'épidémie de COVID19, j'y ai trouvé une équipe soudée ayant mis en oeuvre les moyens pour faciliter mon intégration,  me former à mes futures responsabilités et aux spécificités de fonctionnement de la BA 702 et préparer au mieux mon départ pour ma formation d'Officier Sous Contrat au sein de l'Ecole des Commissaires des armées.

Que retenez-vous de votre formation ?

La formation initiale d'officier sous contrat aura été indiscutablement un temps fort de ma carrière professionnelle mais également dans ma vie personnelle. Les connaissances transmises sur l'institution militaire, ses traditions, ses valeurs, mais aussi l'exigence que la condition de militaire implique, aussi bien au niveau physique et sportif que mental, tout cela a contribué à faire de cette formation un moment fondateur. L’accent est mis aussi sur les savoir être, ce qui est très important. Ainsi, la cohésion, le respect, la compréhension des différences des femmes et des hommes avec qui je serai amené à travailler et l'utilisation de ces différences pour constituer un groupe de personnes complémentaires et soudées capables de venir à bout de n'importe quel challenge est une belle leçon de vie : au sein de l'institution militaire, ce n'est pas seul mais ensemble que l'on avance.

Quels sont vos projets ?

Mes débuts au sein de l'institution militaire m'ont incontestablement fait évoluer et grandir en tant qu'individu et en tant que professionnel, je suis déterminé à poursuivre cette belle experience et profiter des opportunités de carrière offertes par le commissariat, notamment sur le développement de compétences connexes à la finance (logistique, achats...).La possibilité de devenir commissaire de carrière via un concours interne est également une opportunité intéressante.

Le commissaire aspirant Xavier

commissaire aspirant Xavier © eca

commissaire aspirant Xavier

commissaire aspirant Xavier

Je suis le commissaire aspirant Xavier, j’ai 29 ans et je suis actuellement la formation de commissaire aspirant sous contrat à Salon-de-Provence..

Avant de postuler en tant que commissaire des armées, j’ai suivi un cursus universitaire en économie (Master 2) à l’université Paris Panthéon-Assas.

Après quelques stages dans le secteur privé, je me suis rapidement tourné vers le secteur public à l’issue de mon cursus d’étude en obtenant un poste de contractuel au ministère des finances. Attiré par le milieu militaire et les questions stratégiques, je me suis engagé en tant qu’officier de réserve dans la Marine Nationale en 2015. Afin de parfaire mon engagement pour l’intérêt général, j’ai choisi de m’engager en tant que commissaire des armées en 2020. Le choix du commissariat des armées s’est naturellement fait par intérêt pour le milieu interarmées et la diversité de postes que propose le commissariat des armées au cours d’une carrière. Je suis affecté à la DMAé (Division de la Maintenance Aéronautique) au sein du bureau maîtrise des coûts, en charge du contrôle de la cohérence de la LPM (Loi de programmation militaire) avec le budget voté annuellement. La formation d’OSCC (officier sous contrat commissaire) est riche en enseignements militaires, tant sur le plan des rudiments du soldat que sur la découverte du commandement. Je retiens plus particulièrement l’expérience du « stage d’aguerrissement » qui a permis à chacun de tirer le meilleur de soi-même et a fait naître ainsi l’esprit de corps au sein d’un groupe où chaque faiblesse individuelle pouvait trouver son appui sur chaque force individuelle. 

A l’issue de mon contrat, je souhaiterais souhaite poursuivre dans ma spécialité mais serai également très heureux de m’ouvrir et de me former à d’autres métiers. A plus long terme, j’envisagerais de me présenter au concours interne d’activation pour devenir officier de carrière.

Le commissaire aspirant Audrey, j’ai 27 ans et je suis Diplômée du Master Contrôle Audit et Reporting de l'Université Paris Dauphine

commissaire aspirant Audrey © eca

commissaire aspirant Audrey

commissaire aspirant Audrey

Quel est votre parcours académique et professionnel ?

Après une licence en Finance et Gestion j'ai poursuivi mes études en master Contrôle Audit et Reporting à l'Université Paris-Dauphine. 

Tout au long de mes études, j'ai eu l'opportunité de réaliser de nombreux stages en contrôle de gestion notamment au sein de SAFRAN AIRCRAFT ENGINES dans la division des moteurs Militaires.

Travailler indirectement pour la nation a rendu cette expérience plus passionnante et enrichissante. 

A l'issue de mes études, j'ai décidé de quitter la région parisienne pour m'installer en Bretagne, à Rennes. 

J'ai travaillé pendant 2 ans et demi à KPMG en tant qu'auditrice financière. 

Cependant, je voulais redonner plus de sens à ma carrière, savoir concrètement pour qui et pourquoi je travaillais. C'est ainsi que j'ai découvert le poste de Commissaire des Armées qui répondait à l'ensemble de mes attentes.

Pourquoi avoir choisi le commissariat des armées en poste d’officier sous contrat ?

Le métier de commissaire des armées permet de concilier à la fois le métier pour lequel j'ai fait mes études à savoir le contrôle de gestion et le monde militaire qui me passionne. 

De plus, c'est un poste qui offre de belles perspectives d'évolutions car tous les 4 ans, nous sommes amenés à être mutés dans un nouveau site et un nouveau service.  

Ainsi, nous pouvons être formés sur des postes de fonctions supports que l'on ne connaît pas tels que les ressources humaines, les achats ... 

C'est pourquoi j'ai voulu me lancer dans cette belle aventure ... 

Quel poste allez-vous occuper ?

Je vais occuper le poste de Contrôle de gestion Adjoint au sein de la DGA-MI (Direction Générale de l'Armement et Maîtrise de l'Information). 

Compte tenu de la crise sanitaire je n'ai pu réellement prendre mes fonctions. Je prendrai donc réellement mes fonctions à l’issue de la formation à Salon-de-Provence.

Ce poste consiste avant tout à maîtriser les budgets qui nous sont alloués pour les différents projets mais également à réaliser des reportings mensuels et trimestriels. 

Que retenez-vous de votre formation ?

C'est l'une de mes plus belles expériences de ma vie. Je retiens avant tout le dépassement de soi et l'esprit de cohésion même dans les difficultés. Je suis sortie de ma zone de confort et j'ai appris à vivre en communauté. 

Elle m'a permis également de découvrir le milieu militaire (la rigueur et le respect). Je suis totalement confortée dans mon choix. !

Quels sont vos projets ?

Dans un premier temps, je souhaite découvrir le poste auquel je suis affectée, et m'investir au mieux dans les différents projets que je pourrais mener. 

Dans un second temps, je souhaiterais passer le concours interne pour devenir officier de carrière au bout de 5 ans et ainsi monter en compétence afin d'avoir l'opportunité d'évoluer dans différents domaines d'activité.   

Le commissaire aspirant Laura, j’ai 27 ans et je suis titulaire d’un Master 2 PGE (programme grandes écoles) audit financier

commissaire aspirant Laura © eca

commissaire aspirant Laura

commissaire aspirant Laura

Quel est votre parcours académique et professionnel ?

Suite à l’obtention de mon baccalauréat Économique et Social, j’ai intégré un IUT en filière Techniques de Commercialisation et découvert les différents métiers liés au commerce (marketing, finance, achat, logistique etc...). J’ai ensuite fait le choix de poursuivre en licence sciences de gestion avec le CNED (centre national d’études à distance) afin de pouvoir partir à l’étranger parfaire mon anglais sans interrompre mes études. Cette année aux États Unis et en Irlande, m’a permis de gagner en autonomie et ouverture d’esprit. 

J’ai ensuite rejoint l’école de commerce ICN à Nancy pour y obtenir un master II spécialisé en Audit Financier.

Quant à mon parcours professionnel, j’ai effectué plusieurs stages au sein des groupes Bouygues et Eiffage lors de mes études. J’ai ensuite obtenu un premier contrat dans un Big Four de l’audit au Luxembourg, puis j’ai fait le choix de partir travailler à Bordeaux au sein du groupe Fayat en tant que contrôleur de gestion pendant deux ans.

Pourquoi avoir candidaté à un poste d’officier sous contrat ?

J’ai postulé à un poste d’officier sous contrat tout d’abord car le poste proposé correspondait parfaitement à mes attentes et à mon profil. Tous mes critères de recherche semblaient réunis au sein d’un même poste, et ce, dans ma ville d’origine.

D’autre part, devenir officier sous contrat me permet de m’engager pour une durée de quatre ans, renouvelable jusqu’à vingt ans, ce qui me permet de voir à plus ou moins long terme. N’ayant aucune connaissance du monde militaire, un contrat court de quatre ans m’a paru être un excellent compromis.

Pourquoi avoir choisi le commissariat des armées ?

Je ne connaissais pas bien les spécificités du commissariat au début du processus de recrutement mais après plusieurs échanges avec des commissaires et des recherches de mon côté, le choix m’a paru évident. Le commissariat me permet d’être recrutée comme spécialiste dans mon domaine (finances), sans pour autant être bloquée toute ma carrière à un poste dans ce domaine. En effet, je peux par la suite évoluer à des postes d’acheteur, logisticiens, rh etc... ce qui n’est pas possible dans le secteur des entreprises privées dont j’avais l’habitude. La mobilité géographique offerte au sein du commissariat a également été un critère motivant dans mon choix de carrière. De plus, le commissariat nous offre la possibilité de travailler au sein de toutes les armées (air, terre et marine) et je suis fière de pouvoir apporter un soutien technique aux différentes armées et aux femmes et hommes qui les composent.

Quel poste allez-vous occuper ?

Je suis affectée à la DELPIA (Direction de l’exploitation et de la logistique pétrolière interarmées) à Nancy au poste de chef du pôle pilotage financier. 

Placée sous la responsabilité du chef du bureau et son adjoint, je suis chargée d’encadrer une équipe de 9 personnes. Mon rôle au sein de la DELPIA est entre autres d’animer les activités d’exécution financière, piloter les relations avec les fournisseurs, piloter les actions de contrôle interne, m’assurer de la bonne imputation des stocks et immobilisations et également de contrôler les actes de régies. 

A ce jour, je n’ai pu travailler que quelques jours avant d’entrer en formation à l’Ecole des Commissaires des Armées mais mes impressions quant au poste et son environnement sont très bonnes : excellent accueil, environnement agréable, bonne intégration, mes supérieurs ont pris le temps de commencer à me former et me présenter aux équipes etc...

Que retenez-vous de votre formation ?

Ces deux mois de formation m’ont permis de comprendre le vrai sens de la cohésion et du travail d’équipe. J’ai eu la chance de vivre une expérience unique, au sein d’une promotion véritablement soudée et guidée par d’excellents instructeurs. Cette formation m’a appris à dépasser ce que je croyais être mes limites, et à faire preuve de résilience, portée par la cohésion et l’esprit d’entraide de la promotion dont j’ai fait partie.

D’un point de vue plus pratique, nous avons découvert les traditions et valeurs du monde militaire, nous avons acquis les bases  de la formation militaire (ordre serré, topographie etc) et suivi des cours plus théoriques concernant le commissariat des armées et ses métiers.

Quels sont vos projets ?

J’envisage, dans un premier temps d’évoluer au sein de la DELPIA et donner pleinement satisfaction dans mon poste et m’y épanouir tout au long de ma première affectation. Je n’ai pas encore assez de recul pour me projeter après ces quatre années, mais aujourd’hui je souhaite évidemment continuer à évoluer au sein du SCA (Service du Commissariat des Armées). J’aimerais continuer à être affectée à des régiments, casernes, base aérienne etc. au sein desquels on retrouve une certaine proximité avec les femmes et hommes du terrain. Je suis également ouverte au fait de changer de dominante et découvrir d’autres métiers, ce qui est une réelle opportunité et une des raisons pour lesquelles j’ai rejoint le SCA.

Le commissaire aspirant Alexandre, j’ai 25 ans et je suis titulaire d’un Bac +5 en Management-Audit-Expertise

commissaire aspirant Alexandre © eca

commissaire aspirant Alexandre

commissaire aspirant Alexandre

Quel est votre parcours académique et professionnel ?

Suite à un BAC Économique et Social, j’ai intégré l’Ecole de Commerce de Clermont-Ferrand en Management International pour ensuite me spécialiser dans le domaine de la finance d’entreprise en Master. Suite à divers stages et une alternance dans le contrôle de gestion, j’ai intégré une entreprise de transport en pleine croissance sur un poste stratégique de contrôleur de gestion commercial.

Pourquoi avoir candidaté à un poste d’officier sous contrat ?

Après une première expérience de 2 ans dans une entreprise privée, je me suis conforté dans l’idée qu’un poste au sein des armées ne serait qu’un bonus dans ma carrière professionnelle. Aussi bien au niveau des responsabilités confiées pour mon jeune âge, que pour les valeurs humaines et la rigueur qu’apportent l’institution. 

Pourquoi avoir choisi le commissariat des armées ?

J’ai découvert le commissariat des armées durant mes études, c’est une très belle opportunité qui permet de mettre au service de la France et de nos armées les compétences acquises. Il existe une grande variété de spécialités qui offre une mobilité professionnelle en cohérence avec un profil comme le mien, issu d’une école de commerce, que ce soit lors d’un départ en opération extérieure ou bien sur un renouvellement de contrat. 

Quel poste allez-vous occuper ?

Dans le cadre de la nouvelle organisation des GSBdD (groupement de soutien des bases de défense), je serai chef du Bureau Ressources (Finances Achats). Au sein de la Division Conduite du Soutien, mon rôle est de manager 12 personnes dans différentes sections avec des dominantes en achats publics et en finances budget. 

Que retenez-vous de votre formation ?

C’est une aventure humaine et exigeante qui m’a permis de me conforter dans ma volonté de devenir militaire. Car avant tout, le commissaire des armées est un soldat. Cette formation nous plonge dans le quotidien des soutenus, ce qui est indispensable pour mener à bien notre mission future : le soutien de l’Homme. 

Quels sont vos projets ?

A court terme, mon projet est d’organiser et conduire le changement au sein de mon Bureau. Suite à ma première affectation, j’aimerais continuer sur cette voie et servir à nouveau en GSBdD. Sachant qu’une carrière OSC peut aller jusqu’à 22,5 ans de service, j’aimerais concentrer ma première partie de carrière sur l’opérationnel en GSBdD puis en fonction des opportunités en Plateforme Commissariat et Centres interarmées du soutien.

Le commissaire aspirant Joséphine, j’ai 27 ans et je suis Ingénieur de formation

commissaire aspirant Joséphine © eca

commissaire aspirant Joséphine

commissaire aspirant Joséphine

Quel est votre parcours académique et professionnel ?

Après deux années de classe préparatoire BCPST (biologie, chimie, physique et sciences de la terre), j'ai intégré l'Ecole Supérieure d'Agriculture à Angers, où j'ai été diplômée ingénieure.

J'ai travaillé deux ans en tant que chargée d'affaires dans un établissement bancaire, puis j'ai continué comme technico-commerciale au sein d'une coopérative agricole.

Pourquoi avoir candidaté à un poste d'officier sous contrat ?

Mon intérêt pour l'environnement militaire s'est accru lors de l'engagement d'un de mes frères. J'ai souhaité m'engager à mon tour et servir mon pays. Le poste d'officier sous contrat me permet de donner un sens nouveau à ma carrière. 

 Pourquoi avoir choisi le commissariat des armées ?

Intégrer le commissariat des armées me permet de vivre des valeurs que je partage. Le commissariat offre la possibilité d'exercer des fonctions stratégiques dans des domaines divers et variés, dans le but de soutenir les forces armées sur le territoire national et à l'extérieur.  

Quel poste allez-vous occuper ?

Je suis affectée à l'Etat-Major de l'Armée de l'Air, au bureau pilotage de la sous-chef synthèse. Je travaille au contrôle interne. J'ai commencé en février et ai pu bénéficier de l'expertise et de l'expérience de mes collègues.

Que retenez-vous de votre formation ?

La formation militaire initiale est intense et très enrichissante : nous alternons formation académique et instruction militaire. On apprend à vivre en groupe, à partager des moments difficiles, à s'entraider et se soutenir. La cohésion est primordiale. De plus, on en apprend chaque jour un peu plus sur nos capacités et la formation permet le dépassement de soi.

Quels sont vos projets ?

Je souhaite monter en compétences sur mon poste, en apprendre davantage sur l'organisation du ministère des armées. Je suis prête à suivre d'autres formations ou stages et pourquoi pas partir en mission quand l'opportunité se présentera.

Le commissaire aspirant Sandrine, j’ai 25 ans et je suis titulaire d’un Master Comptabilité-Contrôle-Audit

commissaire aspirant Sandrine © eca

commissaire aspirant Sandrine

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Quel est votre parcours académique et professionnel ?

Après l'obtention d'un DUT Gestion des Entreprises et des Administrations (spécialité Finances-Comptabilité) j'ai intégré une troisième année de licence en Comptabilité-Contrôle-Audit au sein d'un IAE (Institut d’Administration des Entreprises). Par la suite, dans le cadre du programme d'échange Erasmus, j'ai suivi des cours à l'étranger pendant un an, avant d'obtenir un Master en Comptabilité-Contrôle-Audit. Durant mes études j'ai réalisé plusieurs stages et CDD dans les domaines de la comptabilité et de l'audit. Ces différentes expériences m'ont poussé à choisir un poste dans le domaine de l'audit. Ainsi, à l'issue de mes études, j'ai travaillé pendant 2 ans et demi en tant qu'auditeur financier au sein du cabinet Deloitte & Associés.

Pourquoi avoir candidaté à un poste d’officier sous contrat ?

J'étais à la recherche d'un poste à responsabilités dans le domaine de la comptabilité. Ayant un intérêt prononcé pour le Ministère des Armées, j'ai orienté mes recherches vers les postes d'OSC proposés sur les différents sites de recrutement. Après avoir pris contact avec un Cirfa et avec le Service du Commissariat des Armées, j'ai soumis ma candidature pour un poste d’officier sous contrat car cela me permettait d’une part de choisir un poste correspondant à mon domaine d'expertise tout en y apportant mon expérience en tant qu'auditeur et d’autre part de travailler sous le statut militaire.

Pourquoi avoir choisi le commissariat des armées ?

J'ai choisi d'intégrer le Commissariat des armées car il apporte un soutien à l'ensemble des forces armées. Il regroupe des experts mettant leurs compétences au service des différentes organismes du Ministère des Armées. Mes compétences n'étant pas spécifiques à un corps d'armée, je souhaitais donner un sens à mon engagement en contribuant au déroulement des missions menées par les forces armées.

Quel poste allez-vous occuper ?

Je suis affectée au poste de Responsable Adjoint à la comptabilité auxiliaire à l'Echelon Central du Service Interarmées des Munitions. Je serai en charge de la tenue de la comptabilité de ce service, et, en lien avec les responsables de gestion logistique au sein des Etablissements Principaux des Munitions, chargée de contrôle interne de premier niveau. Je serai également en charge de la préparation des états financiers annuels de ce service. Malgré mon arrivée en pleine période de confinement liée au Covid19, j'ai pu rencontrer une partie de mon service et initier certains travaux de gestion courante ainsi que des travaux de fonds, telle que la mise à jour de procédures.

Que retenez-vous de votre formation ?

La formation initiale, bien que raccourcie, me permets de découvrir les compétences fondamentales militaires telles que l’ordre serré, le tir, l’aguerrissement, le commandement, le combat, mais aussi les domaines du commissariat : le droit, la gestion, les ressources humaines et les finances appliqués au ministère des armées. Il s'agit également d'une opportunité unique de découvrir et dépasser ses limites, au contact d'autres commissaires aspirants aux profils différents et d'instructeurs dont l’expérience est le socle de cette formation.

Quels sont vos projets ?

J'ai pour projet au cours des prochaines années d’entretenir et de développer mes compétences dans le domaine militaire au travers de différents stages et formations. A l’issue de mon contrat, si l’opportunité m’est donnée, je souhaiterais poursuivre ma carrière au sein du commissariat

L'école

L'école est chargée de former l'ensemble des commissaires des armées, toutes voies de recrutement confondues. Elle propose également des formations ouvertes à l’ensemble des cadres, militaires ou civils, du ministère des armées qui souhaitent renforcer leurs compétences dans les domaines d’expertise du Service du commissariat des armées.

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