Ce récit explorera son histoire riche, ses missions variées, sa composition diversifiée et son implantation sur les sites de Plum, Nouméa, et Nandaï.

Histoire

L'histoire du RIMaP-NC remonte à 1916, avec la création du bataillon de tirailleurs canaques à Nouméa. Restructuré en bataillon mixte du Pacifique, il s'illustre lors de la Première Guerre mondiale, notamment à Vesles-et-Caumont. Actif pendant la Seconde Guerre mondiale, le régiment, alors constitué de volontaires de Polynésie française et de Nouvelle-Calédonie, s'illustre à Bir-Hakeim, en Tunisie, et à Monte-Cassino. En 1981, il prend l'appellation officielle de RIMaP-NC, arborant fièrement des inscriptions et décorations honorifiques.

Mission

Le RIMaP-NC, composé de six unités de combat et de soutien, assume des missions cruciales outre-mer, telles que la souveraineté, la présence, l'entraînement, et la projection des forces. Engagé à 75 % en missions de courte durée, il contribue au secours aux populations et participe au rayonnement régional des Forces Armées de Nouvelle-Calédonie (FANC). Fort de 600 hommes, le régiment réalise une quarantaine de tournées en province, renforçant ainsi son lien avec les communautés locales.

Composition

Le RIMaP-NC est structuré en compagnies spécialisées, couvrant la logistique, la motorisation, l'infanterie parachutiste, la maintenance, et la réserve. Son cadre interarmées et son site d'entraînement exceptionnel lui permettent de maintenir un niveau opérationnel élevé. L'année est marquée par des exercices et échanges internationaux, renforçant la coopération avec les nations du Pacifique.