Top départ pour les gardiens de la flamme olympique !
La flamme olympique parcourra la France du 9 mai au 26 juillet. Les relayeurs seront encadrés par des gardiens, garants de la sécurité de la flamme et de ceux qui la porteront. Une mission confiée en partie à des militaires triés sur le volet.
À environ six mois de leur lancement sur les routes de France pour accompagner les porteurs de la flamme olympique, les « anges gardiens » du symbole immémorial des Jeux sont déjà partis… Du 9 mai au 26 juillet 2024 la flamme ira à la rencontre des Français dans 64 départements (dont 4 ultra-marins) et jusqu’en Polynésie française.
Les gardiens de la flamme, dont la sélection finale sera publiée par l’état-major des armées dans quelques jours, se sont d’ores et déjà réunis le 7 novembre, pour une journée marquant le départ de cette aventure. Le dispositif a été présenté aux personnels (Police, Gendarmerie, Armées et Sapeurs-Pompiers) qui seront mobilisés au fil du parcours. Le sergent Hostens, athlète de haut niveau Terre, marraine du 4e RHFS était présente : elle concourra en canoë-kayak aux épreuves olympiques.
Garantir l’intégrité de la flamme
Très visibles, les gardiens joueront un rôle central pour la sécurité et pour l’intendance de cet événement. Ils accompagneront les nombreux porteurs qui se relayeront tout au long du parcours et garantiront l’intégrité de la flamme jusqu’à son arrivée à Paris. Le comité Paris 2024 a en effet proposé que cette mission soit confiée pour un tiers des effectifs aux Armées. Aux JOP 2024, l’armée de Terre répondra présente dans tous les segments attendus : sécurisation, performances olympiques avec ses athlètes de haut niveau, sport et jeunesse dans ses régiments et enfin contributions à l’événement avec les gardiens ou le bataillon des couleurs.
Le major général de l’armée de Terre, le général de corps d’armée Jean-Christophe Béchon, s’est adressé en fin de journée aux futurs ambassadeurs dans les salons du Pôle de rayonnement de l’armée de Terre (Prat) à l’École militaire, à Paris. La plupart des gardiens métropolitains (dont le sous-lieutenant Gabriel, sportif de haut niveau de la Défense-Terre et un adjudant, blessé psychologique) symbolisaient ce soir-là l’armée de Terre dans sa diversité de corps, d’armes et de spécialités. Le Prat a reçu 150 dossiers de candidature au printemps dernier. Parmi les finalistes, les deux hommes ont passé avec succès les sélections de plusieurs commissions réunissant tous les acteurs du rayonnement de l’armée de Terre. Par leur engagement sportif et leurs états de service, les hommes et les femmes retenus représentent avec fierté l’armée de Terre. Ils servent au 3e RIMa, 3e RAMa, 1er RE, 92e RI, 1er RI, 54e RT, 28e RT, UIISC5, DIRISI, BSPP servant au SSA.
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