Défilé des avions (14 juillet 2023)
Neuf Alphajet de la Patrouille de France en formation Big Nine ouvriront le défilé aérien du 14 Juillet. Au total, 68 appareils de l’armée de l’Air et de l’Espace, de la Marine nationale, de la Sécurité civile et des armées étrangères partenaires survoleront les Champs-Élysées de La Défense à la place de la Concorde.
Patrouille de France
Missions
La Patrouille acrobatique de France (PAF), ambassadrice des ailes françaises, a pour mission d’incarner le savoir-faire de l’Armée de l’Air et de l’Espace (AAE), et plus largement, du ministère des Armées.
Aux commandes de leur Alphajet, les pilotes ont deux missions principales : faire vivre le lien armées-Nation auprès du public et montrer l’excellence de l’industrie aéronautique française et l’engagement des aviateurs qui oeuvrent au quotidien pour l’institution.
Les démonstrations de la PAF sont l’occasion d’illustrer l’exigence nécessaire aux missions opérationnelles de l’AAE. Les pilotes et mécaniciens, de toute spécialité, sont issus d’escadrons de combat et ont vocation à y retourner après leur passage à la PAF.
Cette année, la Patrouille de France célèbre ses 70 ans de voltige et d’émerveillement. Un grand meeting national de l’air en l’honneur de cet anniversaire s’est tenu en mai 2023.
Implantation
Lieu d’implantation de l’unité : base aérienne 701 de Salon-de-Provence (Bouches-du-Rhône)
Date de création de l’unité : 1953
Composition
Effectif défilant : neuf Alphajet en formation Big Nine
25 ans de partenariat stratégique entre la France et l'Inde
Missions
La présence de départements français et collectivités d’outre mer et de points d’appui militaires comme aux Émirats arabes unis et à Djibouti confère à notre pays une position stratégique dans la région. À cet égard, la France a des intérêts communs avec l’Inde, pôle de stabilité dans une zone exposée à des menaces pour la sécurité collective.
Initié dès 1953 et signé officiellement en 1998, le partenariat stratégique entre l’Inde et la France s’appuie notamment sur un pillier « Défense » qui prend forme autour de la relation bilatérale entre les deux pays.
L’armée de l’Air et de l’Espace a déployé, en novembre dernier, 130 aviateurs, cinq Rafale de la 30e escadre de chasse et un avion ravitailleur MRTT sur la base aérienne de Jodhpur en Inde à l’occasion de GARUDA 22. Cet exercice bilatéral organisé par l’Indian Air Force, a donné lieu à un véritable enrichissement culturel et a permis de maintenir une excellente connaissance mutuelle tout en développant un haut degré d’interopérabilité entre aviateurs français et indiens dans un environnement tactique réaliste, tant dans le domaine du ravitaillement en vol que dans celui du combat de haute intensité.
En avril 2023, ce sont les Rafale indiens qui se sont déployés sur la base aérienne 118 de Mont-de-Marsan pour l’exercice VOLFA.
Date de création du partenariat : 1998
Composition
Effectif défilant : un Rafale de la 30e escadre de chasse et trois Rafale de l’Indian Air Force.
90 ans du Centre d'expertise aérienne militaire
Missions
Le Centre d’expertise aérienne militaire (CEAM) est l’entité de l’Armée de l’Air et de l’Espace (AAE) entièrement dédiée à la préparation de l’avenir, au service des forces.
Le CEAM est un acteur central dans le développement et l’adoption des nouvelles capacités opérationnelles. Il contribue à la définition et au respect du besoin des forces, participe à l’élaboration de nouvelles doctrines dans les domaines opératifs et tactiques et est également le centre expert de l’AAE en matière d’innovation.
Il assure la réflexion prospective et le recueil de retours d’expérience et, à ce titre, participe à l’analyse des modes d’actions russes et ukrainiens engagés dans le conflit débuté en février 2022.
En 2023, le Centre d’expertise aérienne militaire (CEAM) concentre 39 unités et 853 personnels, dont l’Escadron de chasse et d’expérimentation (ECE) 1/30 « Côte d’Argent » en charge de la réception et de l’expérimentation des nouveaux matériels dans l’AAE et, notamment, du nouveau standard Rafale F4.
Composition
Effectif défilant : un Rafale B et deux Mirage 2000D de l’ECE 1/30 « Côte d’Argent » de la BA 118 de Mont-de-Marsan
Implantation
Lieu d’implantation de l’unité : base aérienne 118 de Mont-de-Marsan (Landes)
Date de création de l’unité : 1er avril 1933
Protection de l'espace aérien
Missions
La protection de l'espace aérien fondée en 1964, puis renforcée après les attentats du 11 septembre 2001 et la destruction des tours jumelles du World Trade Center de Manhattan par plusieurs avions de ligne détournés, la Posture permanente de sûreté-Air (PPS-A) est une mission permanente de l’armée de l’Air et de l’Espace.
Active 24h/24 et 7j/7, la PPS-A garantit la souveraineté de l’espace aérien français, sous la responsabilité du Premier ministre.
Grâce à un maillage national et à du personnel d’alerte, le dispositif permet d’agir face à toute situation anormale, d’intercepter
en quelques minutes tout aéronef en infraction, ou de lui porter assistance si besoin.
Le dispositif de la PPS-A se compose de radars, de centres de détection et de contrôle, d’aéronefs et d’équipages prêts à décoller
à tout moment, ainsi que d’avion-radar E-3F AWACS et d’avions ravitailleurs en alerte.
Le Centre national des opérations aériennes (CNOA) est le coeur opérationnel de la mise en oeuvre de la PPS-A. Depuis la base
aérienne 942 de Lyon-Mont Verdun, il détecte jour et nuit tous les appareils évoluant dans l’espace aérien et évalue leur menace.
Il assurera notamment la protection de l’espace aérien national lors de la Coupe du monde de rugby 2023 et des Jeux olympiques et paralympiques 2024.
Composition
Effectif défilant : un E-3F du 36e escadron de détection et de contrôle aéroporté « Berry », un Mirage 2000-5 de l’EC 1/2 « Cigognes », un Rafale C de la 30e escadre de chasse et un Rafale B de la 4e escadre de chasse.
Défense du territoire européen - Enhanced air policing (eAP)
Missions
De décembre 2022 à avril 2023, un détachement français composé de quatre Rafale a été déployé en Lituanie pour la mission enhanced Air Policing (eAP) s’inscrivant dans le cadre des missions de police du ciel de l’OTAN dans les pays Baltes dites Baltic Air Policing (BAP).
Ces missions, auxquelles participe régulièrement la France depuis 2004, visent à garantir l’intégrité de l’espace aérien balte en temps de paix. Durant quatre mois, une quinzaine de décollages sur alerte réelle ont permis l’interception et l’identification de 27 aéronefs. En outre, les avions français ont effectué 70 entraînements aux décollages sur alerte et une soixantaine de vols d’entraînement interalliés aux procédures OTAN au profit des équipages Rafale.
L’engagement de la France dans cette mission opérationnelle permanente de l’OTAN a contribué au renforcement de sa posture dissuasive et défensive et permis de confirmer la crédibilité de l’armée de l’Air et de l’Espace dans le domaine de l’interopérabilité avec les forces aériennes alliées.
Composition
Effectif défilant : un Rafale C de la 30e escadre de chasse, un Rafale B de la 4e escadre de chasse, un Mirage 2000-5 de l’EC 1/2 « Cigognes », deux Typhoon de la Royal Air Force et deux F16 de la Belgian Air Force.
Défense des intérêts vitaux et stratégiques - dissuasion
Missions
Les Forces aériennes stratégiques (FAS) ont été créées en 1962 et assurent sans interruption depuis 1964 la permanence de ladissuasion nucléaire française. Elle est complétée par la seconde composante permanente, la composante aéroportée de la Marine - Force aéronavale nucléaire (FANu), depuis 1978 - et par la composante océanique - Force océanique stratégique (FOST), depuis 1974.
Fondamentale, cette mission de l’armée de l’Air et de l’Espace confère au Président de la République la liberté d’appréciation, de décision et d’action dans l’exercice de ses responsabilités internationales. Elle préserve les intérêts vitaux de la Nation face à toute agression par une puissance adverse en faisant redouter à cette dernière des pertes bien plus importantes que les gains escomptés.
La composante aéroportée se distingue par le caractère ostentatoire et réversible de son mode de projection.
Grâce à la polyvalence de leurs avions Rafale, A330 Phénix et C-135, les FAS interviennent également sur l’ensemble du spectre des missions conventionnelles de l’arme aérienne. Cette dualité est un cercle vertueux qui garantit la crédibilité globale de l’armée de l’Air et de l’Espace.
Plusieurs fois par an, les FAS mènent notamment l’opération POKER. Cette mission aérienne vise à reproduire, au-dessus du territoire français, le raid nucléaire de la composante nucléaire aéroportée (CNA) permanente. Plus d’une cinquantaine d’aéronefs de l’AAE sont mobilisés.
Composition
Effectif défilant : un avion ravitailleur A330 Phénix de l’escadron de ravitaillement en vol et de transport 1/31 « Bretagne » de la base aérienne 125 d’Istres et trois Rafale B de la 4e escadre de chasse de la base aérienne 113 de Saint-Dizier.
Projection de force
Missions
La projection de force désigne une capacité clé de l’Armée de l’Air et de l’Espace (AAE).
Elle consiste à intervenir immédiatement et entrer en premier dans une zone de conflit. Essentielle à toute action aérienne en autonomie, elle permet à l’AAE d’agir loin et sans délai grâce au déploiement de moyens de renseignement et d’intervention.
Cette projection de puissance repose sur un tandem de chasseurs, ravitailleurs et transporteurs, indispensables à toutes opérations.
Pour se préparer à la haute intensité, la mission annuelle PÉGASE (projection d’un dispositif aérien d’envergure en Asie du Sud- Est) comprit en 2022 l’exercice multinational PITCH BLACK et la mission HENRI BROWN de projection de puissance conduite vers la Nouvelle-Calédonie en moins de 72 heures. Elle a engagé trois Rafale, deux A330 Phénix et deux A400M Atlas.
En avril 2023, lors de l’opération SAGITTAIRE, au Soudan, l’AAE a effectué sept rotations de 2 A400M et deux rotations d’un C-130J pour évacuer 538 personnes en moins de trois jours. Ces opérations illustrent la capacité de l’AAE à se déployer sur de longue distance, sans délai et en nombre dans des environnements instables.
Elle peut également s’appuyer sur son dispositif de forces pré-positionnées et des bases aériennes hors métropole.
Composition
Effectif défilant : un A330-200 de l’Esterel, un A400M de la 61e escadre, un C-130J de la Binational Air Transport Squadron (BATS) et deux CASA de la 64e escadre.
Intervention
Missions
L’intervention est une des missions permanentes de l’Armée de l’Air et de l’Espace (AAE). Sa réactivité, son allonge stratégique et sa capacité à entrer en premier garantissent une véritable liberté d’action. Ses capacités d’intervention s’appuient notamment sur la 3e escadre de chasse de la base aérienne 133 de Nancy-Ochey opérant sur Mirage 2000D et B. Centrée sur l’activité opérationnelle, l’escadre est dotée depuis l’été 2022 de Mirage 2000D « rénovés mi-vie ». Ce standard implique un système d’attaque simplifié, un système de navigation modernisé et un emport de munitions augmenté pour assurer des missions de frappe dans la profondeur. Aujourd’hui, plus de la moitié des avions de la 3e escadre en bénéficie.
Les interventions de l’AAE peuvent s’appuyer également sur l’Escadron de ravitaillement en vol (ERV) 4/31 « Sologne » installé sur la base aérienne 125 d’Istres. Opérant sur C-135 depuis 1964, il assure des missions de ravitaillement en vol dans le cadre des opérations conventionnelles : transport de personnes et de fret, et évacuations médicales aéroportées depuis 2008.
Composition
Effectif défilant : un C-135 de l’ERV 4/31, un Rafale C de la 30e escadre de chasse et quatre Mirage 2000D de la 3e escadre de chasse.
Groupe aérien embarqué (GAé)
Missions
Groupe aérien embarqué est déployé (GAé) depuis le porte-avions nucléaire Charles de Gaulle, le GAé est le fer de lance du groupe aéronaval, à la fois outil majeur de projection de puissance et un des garants de la maîtrise des espaces aéromaritimes. Avec la force aéronavale nucléaire, il participe à la dissuasion. Les Rafale Marine réalisent des missions de projection de puissance, de défense aérienne et de renseignement. Ces avions de combat disposent d’un long rayon d’action autour du porte avions.
Les E-2C Hawkeye, seuls avions de guet aérien pouvant être embarqués, assurent des missions de détection et de commandement. Les Falcon 10 Mer de la 57S participent à l’entraînement et au maintien des qualifications de vol aux instruments des pilotes de chasse de la Marine.
Composition
Effectif défilant : huit Rafale Marine des Flottilles 11F, 12F, 17F et un E-2C Hawkeye de la Flottille 4F.
Surveillance et patrouille maritime
Missions
L’Atlantique 2 assure des missions de renseignement et de lutte anti-sous-marine. Il peut participer à des missions de projection de puissance. Les Atlantique 2 (mis en oeuvre par les flottilles 21F et 23F) se sont illustrés cette année dans des missions de lutte anti-sous-marine et de renseignement en mer Noire notamment. Les Falcon 50M, (mis en oeuvre par la flottille 24F) sont employés pour la lutte contre les pollutions maritimes et la lutte contre les trafics illicites. Ils contribuent aux missions de sauvegarde de la vie en mer.
Composition
Effectif défilant : deux Atlantique 2 de la Flottille 23F, un Falcon 50M de la Flottille 24F et un Falcon 10M de l’escadrille 57S.
Reconnaissance - Anticipation
Missions
Renseigner, surveiller et reconnaître font partie des missions inhérentes à l’Armée de l’Air et de l’Espace (AAE). Pour les réaliser, l’AAE utilise des drones intégrés dans la chaîne de renseignement et de commandement des opérations.
En 2023, 12 drones MQ-9 Reaper sont quotidiennement employés sur le territoire national et en opérations extérieures. Les drones de Moyenne altitude longue endurance (MALE) MQ-9 Reaper sont équipés de capteurs embarqués ultramodernes.
Polyvalents et discrets, l’autonomie de plus de 20 heures confère aux drones une vraie endurance, atout majeur pour les opérations aériennes.
Depuis 2019, ils sont en mesure de délivrer de l’armement et de neutraliser des objectifs.
Composition
Effectif défilant : un Avion léger de surveillance et de reconnaissance (ALSR) de la 64e escadre de transport.
École de l'aviation de chasse
Missions
L’école de l’aviation de chasse (EAC) a pour mission principale l’instruction des futurs pilotes de chasse et des navigateurs officiers systèmes d’armes. Elle met en oeuvre 26 Pilatus PC-21, à l’avionique proche de celle du Rafale, avec simulation embarquée. Ils permettent d’offrir une formation plus moderne et adaptée aux besoins des unités de combat et de familiariser les jeunes pilotes à l’exigence d’un avion de combat de 4e génération.
40 % de l’apprentissage est réalisé sur le simulateur de vol qui joue un rôle essentiel en permettant d’aborder des disciplines jusqu’alors exclusivement enseignées en vol (voltige et vol en patrouille).
Le PC-21 offre par ailleurs une économie de carburant de 70 % par rapport à l’ancienne formation sur Alphajet. Depuis l’arrivée du PC-21 en 2018, l’EAC forme les pilotes et navigateurs en deux ans, contre trois auparavant – un cursus permettant une transition directe entre le PC-21 et l’avion de combat.
Elle assure également la formation initiale sur GROB 120 des personnels navigants de l’armée de l’Air et de l’Espace et de la Marine nationale, et forme les futurs moniteurs simulateurs de vol.
Composition
Effectif défilant : trois PC-21 de l’EAC.
École de l’aviation de transport
Missions
L’école de l’aviation de transport (EAT), assure une formation interarmées et internationale au profit de l’Armée de l’Air et de l’Espace (AAE), de la Marine nationale, de l’Italie, du Benelux et de pays francophones africains. Elle instruit les pilotes à l’aviation militaire de transport, propose des stages Instrument Flight Rules (IFR) pour les pilotes de transport ou de chasse souhaitant se réorienter ou se reconvertir et participe à la formation des moniteurs simulateurs de l’AAE.
Au cours de son apprentissage, l’élève-pilote effectue environ 115 heures de vol sur Xingu et 90 heures de simulation ; l’objectif étant d’assimiler les qualifications civiles et militaires permettant d’évoluer dans un avion de transport à l’international.
Le Xingu est un petit bimoteur de fabrication brésilienne conçu pour les missions écoles. Il permet de transporter neuf aviateurs. L’AAE en compte 22. Son principal atout pour une formation réaliste est son cockpit équipé d’une double commande et d’une instrumentation complète et bien adaptée au vol.
Composition
Effectif défilant : quatre Xingu de l’EAT.
Lutte contre les incendies
Mission
Trois aéronefs constituent le bloc aéroporté de la Sécurité civile : le Canadair, le Dash et le Beechcraft. Ils sont utilisés pour combattre les feux de forêt mais également pour le transport du personnel et du fret lors des missions en France et à l’international. Le Canadair CL415 est utilisé pour l’attaque directe des feux de forêt. Le Dash 8 Q400 se transforme en bombardier d’eau et assure le « guet aérien armé » et le transport de personnels et de matériels. Le Beechcraft 200 Super King Air transporte des passagers et du fret. Il coordonne et commande les opérations aériennes lors des feux de forêt.
Composition
Effectif défilant : un Dash 8 Q400 de la Sécurité civile.
Compétition et excellence
Missions
L’équipe de voltige de l’armée de l’Air et de l’Espace (EVAAE) représente l’armée de l’Air et de l’Espace lors de meeting et en compétition. Chaque année, ses voltigeurs participent à une quarantaine de manifestations aériennes, en France et à l’étranger. Rassemblant quatre pilotes, sept mécaniciens, deux photographes et deux agents d’opération qui partagent tous une même passion, celle de la voltige, l’EVAAE symbolise à la fois l’esprit sportif et celui de pilote.
Les acrobaties sont réalisées sur l’Extra 330, un avion décliné en deux versions : biplace (LC) et monoplace (SC). Dans cet appareil, le pilote est attaché grâce à un harnais à sept points d’attache et à deux cliquets, permettant un serrage efficace.
Situé en bout d’aile de l’aéronef, un triangle de voltige permet au pilote d’augmenter la précision de ses trajectoires.
Composition
Effectif défilant : deux Extra 330 de l’EVAAE.
Dossier 14 juillet
Alors que la guerre a fait son retour en Europe, la solidarité stratégique avec nos alliés et les « forces morales » de la Nation seront célébrées lors du défilé militaire.
Voir le dossierContenus associés
Les images marquantes du défilé du 14 juillet 2024
En cette année de commémoration de la Libération, la France s’apprête à accueillir les Jeux olympiques et paralympiques. Deux thématiques à l’honneur du défilé du 14 juillet 2024. Retour en images sur les moments forts.
14 juillet 2024

14 juillet 2024 : découvrez le programme du défilé sur l’avenue Foch
En raison des Jeux olympiques de Paris 2024, le défilé du 14 Juillet se tiendra, pour la deuxième fois de son histoire, sur l’avenue Foch. Pour cette édition, une double thématique s’est imposée : « l’olympisme et les armées » d’une part et les 80 ans de la Libération de la France d’autre part. À quelques jours de l’évènement, découvrez ci-dessous le programme.
12 juillet 2024

14 juillet 2024 : les 80 ans de la Libération et l'Olympisme à l’honneur
Alors que la France accueillera cet été les Jeux olympiques et paralympiques de Paris 2024 (JOP 2024) et que sont célébrés cette année les 80 ans de la Libération, ces deux événements seront mis à l’honneur lors du traditionnel défilé du 14 Juillet.
12 juillet 2024
