Défilé troupe montée : régiment de cavalerie de la garde république

Les cavaliers sont employés pour des missions diverses : contrôle de zone, recherche de personnes, surveillance de secteurs et services d’ordre à l’occasion d’événements majeurs. Ils effectuent plus de 15 000 patrouilles par an.

Régiment de cavalerie de la garde républicaine © Ministère des Armées

Historique de l’unité

L’histoire du Régiment de cavalerie de la Garde républicaine débute sous le Consulat, avec la création le 4 octobre 1802 de la Garde municipale de Paris. Cette force comprend des dragons à cheval, parmi lesquels figurent des trompettes (début de la fanfare de cavalerie).

Missions de l’unité

Le Régiment de cavalerie participe aux services protocolaires au profit des plus hautes autorités de l’État et des hôtes étrangers.

Il assure également des missions de sécurité publique générale, grâce à :

  • 11 postes à cheval permanents,
  • 2 groupes de cavalerie,
  • 1 détachement au peloton de surveillance et d’intervention à cheval en Nouvelle-Calédonie,
  • 15 postes à cheval saisonniers agissant en appui des unités de Gendarmerie départementale.

Des renforts à l’occasion d’événements majeurs sont également effectués. Le Régiment de cavalerie participe au maintien et au rayonnement de l’équitation militaire et à la préservation des savoir-faire ancestraux par les artisans de la Garde.

Composition de l'unité

Effectif défilant
142 chevaux
Articulation
La fanfare de cavalerie en tête (26 cavaliers, remontés en chevaux alezans et deux en chevaux timbaliers gris) commandée par le trompette major
Le commandant du Régiment de cavalerie
Le commandant en second
Le commandant de régiment adjoint
L’étendard et sa garde (trois cavaliers remontés en chevaux gris) et les trois escadrons à 36 cavaliers

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